L’objet forant mes moiteurs par degrés, s’entiche d’une lumière totale. Je heurte une liberté troublante, jamais touchée auparavant. Je ne peux tomber, puisque là-haut dans le plaisir, je porte rageusement le soleil.
Une chambre que j’imagine presque vide (un matelas pneumatique sur une catalogne, quelques livres, l‘objet, une fenêtre) il y a cette femme qui bouleverse son corps, son cœur et son esprit dans des orgasmes déchirants, poignants, alarmants, puissants. Les murs de la pièce qui répercutent la présence des voisins, trop proches. Deux actes: Oublier H. et Journal de mes orgasmes. Redessiner la vie dans les draps de la solitude pour guérir la rupture amoureuse qui nous (dé)fait.